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dimanche 15 mai 2011

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mercredi 23 février 2011

Dehors les profiteurs !

Rejoignez la campagne pour le retrait des troupes françaises hors d'Afghanistan et hors d'Afrique ! Contactez le JERF !

Deux réunions publiques !

- Université Paris 3 (Métro Censier) :
Jeudi 3 mars 2011 à 14h00, salle 416.

- Université Paris 10 (RER A Nanterre Université) :
Jeudi 10 mars 2011, 12h, bâtiment DD

Que ce soit les massacres au Rwanda, la déstabilisation de la Côte d’Ivoire, les dix ans de guerre en Afghanistan, les opérations militaires au Niger en janvier 2011 ou l’utilisation de la Réunion comme d’une vaste base militaire, l’armée française est une institution qui fonctionne sans répit.
Sarkozy et ses porte-flingues répètent à l’envie que les caisses de l’État sont vides pour justifier la casse des services publics et acquis ouvrier : allongement de la durée de cotisation des retraites, 66 000 postes de professeurs supprimés depuis 2007 ! Dans le même temps, 15 000 soldats supplémentaires sont recrutés : autant de réunionnais, de métropolitains, de lycéens, d’étudiants, sans avenir sinon celui de chair à canons.
Aujourd’hui, 11 200 soldats français sont en opération, en Afrique et au Moyen-Orient. Le discours de M. Alliot-Marie sur le savoir-faire français en matière de sécurité, pour mater la révolution tunisienne, est un exemple criant du rapport qu’entretient notre impérialisme avec ses anciennes colonies : prêt à soutenir n’importe quel régime pour garantir ses intérêts économiques ou politiques. Mais cet exemple montre également que devant le mécontentement, tant en Tunisie qu’en France, de la jeunesse et des travailleurs suscité par un tel discours, la ministre et les intérêts qu’elle représente ont été obligés de faire machine arrière.
Avec la déstabilisation de la bourgeoisie française en Tunisie et la révolution égyptienne, tout devient possible ; y compris la victoire de la lutte pour le retrait des troupes impérialistes françaises d’Afghanistan et d’Afrique. L’ennemi des peuples est ici, c’est l’État français. Battons-nous et mobilisons-nous jusqu’au retrait des troupes françaises, pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Exigeons que l’argent aille à la santé, à l’éducation, à nos retraites… pas pour la guerre !

Deux réunions publiques !

- Université Paris 3 (Métro Censier) :
Jeudi 3 mars 2011 à 14h00, salle 416.

- Université Paris 10 (RER A Nanterre Université) :
Jeudi 10 mars 2011, 12h, bâtiment DD

Signatures actuelles :
- GSI (Groupe Socialiste Internationaliste)
- JERF (Jeunesse Emigrée Réunionnaise en France)
- SEUL (Syndicat Etudiant Unitaire et Laïque)
- Kolektif Dégage
- Comités Afghanistan (Paris 3 , Paris 10, lycées du 13ème arrdt.)

lundi 31 janvier 2011

URGENT !

Lundi 31 janvier 2011

PETITION :
envoyer vos signatures personnes, associations, organisations (nom,prénom,commune) à :
soutienreunion@yahoo.fr
Nous sommes des Réunionnais venus travailler en France par le biais du CNARM une association financée par l’Etat et le Conseil général de la Réunion, qui est l’organisme qui nous a fait venir afin de trouver, travail et logement. Cependant après les deux mois de prise en charge, aucun des résidents venus par le CNARM , de AVRIL 2010 à DECEMBRE 2010 n’était avisé d’une obligation de départ subite, ceci dit la nouvelle est tombée au mois de NOVEMBRE nous donnant un délais trop court, sachant que le marché de l’immobilier est saturé, que le temps de recherche et d’attente est beaucoup plus long que ce qui nous ai demandé .Sachant que nous payons nos loyers ( de 600 à 800 €) au Relais de Palaiseau qui nous demande de quitter les lieux le 28 février. Certains d’entre nous ont des enfants en bas-âge et il y a des personnes âgées.
Le CNARM travaille avec VIA HUMANIS qui nous propose des logements indécents et chers.
Nous exigeons l’arrêt de la publicité du CNARM car il ne peut pas donner de faux espoirs à des réunionnais et les laisser ensuite dans la rue.
Le Conseil général de la Réunion doit intervenir auprès du préfet de l’Essonne : des logements décents ou en HLM pour les réunionnais !

Collectif des Réunionnais du Relais Palaiseau

Soutiens :

Organisations : JERF, jeunes émigrés réunionnais en France, Kolektif dégage

Citoyens :

Félix Barres, Paris
Stéphane Lavignotte, pasteur, Paris
Soraya El Kahlaoui, Etudiante
Issa Safa, Iran
Xavier Rivière, Saint-Denis de La Réunion
Abir Kréfa, sociologue,Villeurbanne
Soraya Ayapermal, étudiante, Nanterre
Hubert M'houmadi, Conseiller municipal dèlégué à la restauration scolaire de St Germain sur morin

mercredi 26 janvier 2011

SITE EN CONSTRUCTION

http://www.jerf.fr/


Kosa i lé lo JERF ?
Le JERF : ce sont les jeunes émigrés réunionnais en France. Il regroupe des jeunes Réunionnais nés à la Réunion ou en France, de Paris et de Province.
Le JERF est une organisation indépendante, non subventionnée qui fonctionne sur la solidarité de ses membres et de ses sympathisants.
Le JERF informe les Réunionnais en matière de logement, travail, démarches administratives, études, droits, discriminations.
Le JERF marche pour l’intérêt des Réunionnais les plus précaires.
Le JERF met en contact les Réunionnais entre eux et met en réseau les associations Réunionnaises entre elles.
Le JERF milite pour la Culture et la Mémoire Réunionnaise.
Le JERF milite pour des conditions de vie décentes et la justice pour tous ici et là-bas.
Le créole
Parler créole, écrire créole c’est avoir conscience que nous formons un groupe humain avec une histoire commune, des combats qui sont les mêmes !
Écrire en créole est envisagé comme un acte politique de revendication en soi. La question de la répression de la langue et de la culture nationale de la Réunion est fondamentale. Parler créole et revendiquer la langue créole dans l’espace publique est diabolisé : c’est être « extrémiste », « indépendantiste », raciste envers les expatriés français (zorey). La place de l’école dans la construction de la « honte », des complexes par rapport à l’histoire de l’esclavage est sans commune mesure. La langue est un espace de résistance.
L’histoire
Il ne faut pas compter sur une histoire officielle qui nous raconte que Sarda Gariga est venu nous apporter la liberté, que l’abolition est un cadeau de la France. Il faut que nous soyons sûrs de nous là-dessus : l’esclavage a été aboli parce qu’il y avait trop de marronage, que les esclaves organisaient des camps dans les montagnes, mettaient en place une autre société… Le système de l’esclavage n’était plus rentable… Surtout, il y avait la lutte victorieuse des Haïtiens pour leur liberté, que la France avait peur de voir se reproduire dans ses autres colonies !
Et puis quelle liberté ? Les esclaves affranchis étaient tenus de rester travailler chez leur maître (le « vagabondage » était réprimé par un décret du 28 avril 1848, soit en même temps que le décret officiel de l’abolition de l’esclavage dans toutes les colonies françaises), et pour les engagés qui ont continué d’arriver par bateaux négriers, ça n’était plus l’esclavage mais… le travail forcé ! L’histoire apprise à la Reunion est celle de la France, des Gaulois, la géographie celle de la France et des États-Unis pas celle des pays de l’Océan Indien. Les rues à la Réunion portent le nom des colonisateurs, esclavagistes (l’école Desbassins, etc). En France ou en Allemagne, il n’y a pas de rue Klauss-Barbie ! Il n’y pas d’archéologie à la Réunion, les os des esclaves gisent encore là où nos maisons sont construites, des routes ont recouvert les camps d’esclaves comme si de rien n’était. Ce système de déni fabrique de la violence. La question est de savoir quoi faire de cette violence. L’école est un lieu stratégique, il est nécessaire de mener des luttes pour le créole en direction de cette institution mais il faut également créer des espaces de formations et d’apprentissage autonomes (« écoles marons »).
Le maloya
L’histoire de la Fètkaf est liée au maloya. Le maloya a été la musique des esclaves et la musique du peuple pendant les luttes contre la domination française. Le maloya a été interdit jusqu’en 1981 : cette « libération » est le fruit de luttes politiques, du travail de militants. La question de la récupération par la gauche française du maloya est importante : le principe de Mitterrand pour la Réunion a été en quelque sorte « libérer le maloya pour enchaîner la jeunesse », les jeunes militants ont été enCESés- les CES musique- par le pouvoir socialiste…Mais le Parti de Vergès a également utilisé la musique des petits-noirs pour s’assurer de gagner les élections !
L’identité politique
Le maloya est un outil, ou un espace politique qu’il reste encore à libérer, à se réapproprier. Le maloya est le moment d’une fierté et de l’expression d’une identité politique kaf. Les « yabs » clairs de peaux sont kaf autant que les « malbars » parce qu’ils ont été salis par la France, traités comme moins que des chiens. Ce qui ne les empêche ps à l’occasion de mettre un kaf à sa place : ce combat contre le communalisme doit être mené de pied ferme !
L’immigration et les émigrés Réunionnais !
Il y a aussi une histoire de l’immigration réunionnaise à faire : les Réunionnaises/ais ne sont pas forcément comptés dans les chiffres de l’immigration mais ne sont pas protégés du racisme et des conséquences de l’exil. L’histoire de l’immigration c’est aussi celle des politiques menées par la France. C’est le cas de l’organisation par décret (Debré) de la déportation d’enfants réunionnais pour « repeupler » les campagnes françaises. Les préfets Perreau-Pradier et Debré ont mis en place une répression contre les opposants politiques à la domination française, qui consistait à expatrier les autonomistes. Beaucoup de Réunionnais ont connu le service obligatoire mais surtout les usines Renault, Peugeot… les Réunionnaises pendant le BUMIDOM croyaient partir pour des postes d’infirmières et se sont retrouvées à faire le ménage…


vendredi 14 janvier 2011

Vive le peuple Tunisien !


Communiqué du JERF Jeunesse Emigrée Réunionnaise en France

BEN ALI est parti ! Vive le peuple Tunisien !

Ben Ali, son gouvernement et sa police tuent depuis des semaines. Ils étranglent le peuple tunisien depuis trop longtemps. Nos frères et sœurs tunisien-nes sont aujourd’hui DEBOUT dans la révolte et la lutte pour se procurer eux-même la liberté, la parole, du travail et les vivres minimums pour se relever contre des années de répression, de torture et de meurtres. Dans notre pays la Réunion la vie aussi est trop chère, le taux de chômage bat des records : nous comprenons ce combat et nous le soutenons !

Les peuples ont raison de lutter contre la misère et la profitasion.

Les images à la télévision ne montrent que le feu et la violence mais le sang coulé des jeunes et des opposants n’est que le reflet d’années entières de misère pour des millions de tunisiens.
L’Etat français prétend ne pas vouloir donner de leçons à la Tunisie. Pourtant Alliot Marie donne des leçons de répression : mépris de la France à l’égard du peuple tunisien ! C’est sûr que la France est numéro 1 en matière de meurtre au taser, de violences policières, de chasse aux Rroms et de centres de rétention.
C’est « Le fric d’abord » pour la France depuis la colonisation , elle garde une main mise sur nos pays.

L’Etat français doit arrêter de soutenir la dictature de Ben Ali !

Etat Français, Etat hypocrite ! Etat Français, Etat complice !
BEN ALI , assassin ! BEN ALI, dégage !

Paris, le 14 janvier 2011
Contact : 06 70 25 46 75 / soutienreunion@yahoo.fr/ blog : http://jerf-libre.blogspot.com/

mardi 11 janvier 2011

Aller-retour

Ce qui m'a poussé à venir en Métropole, c'est l'envie d'y poursuivre mes études, ainsi que l'opportunité de profiter d'un marché du travail moins restreint qu'à la Réunion.
Depuis quelques années déjà, j'avais le projet d'aller vivre en France et comme après mon bac, j'ai perdu un an de mon temps à la fac, je me suis dit que c'était le bon moment pour aller en France.
En plus, les études et le projet professionnel que j'envisageais faisaient que la Métropole était plus adaptée pour les réaliser.
Les difficultés que j'ai rencontrées en Métropole ont été nombreuses et ont d'ailleurs commencé à la Réunion avant mon départ ...
Déjà il y a eu l'envoi des dossiers de candidature dans 30 écoles en Métropole au mois de mars, les réponses n'étant dévoilées qu'en juin... C'était déjà très serré .. Les problèmes ont donc débuté à ce moment, où j'étais dans l'attente des réponses, sans quoi je ne pouvais même pas commencé mes démarches au niveau de LADOM.
Au niveau de LADOM et du CROUS (billet d'avion, bourse)
En février-mars, j'ai commencé à me renseigner au CROUS sur les bourses en France, sur le Billet d'avion ... mais comme c'était à l'époque où l'ANT étais en train de devenir LADOM, par conséquent le billet d'avion pour les étudiants n'était plus payé par le CROUS mais par LADOM.
Il faut savoir que j'ai galéré pour avoir cette information car à l'époque, personne ne savait rien, et ne pouvais me renseigner sur les dispositifs ... : 1 er problème
Ce n'est qu' après que LADOM fut mis en place que j'ai pu avoir les infos nécessaires pour le billet d'avion, qui était pris en charge totalement.
Pour ma bourse, j'ai constitué mon dossier social étudiant en même temps que mes dossiers de candidature, et vu que je suis boursière au dernier échelon, ma bourse s'élevait à 460 eur . Sachant que les premiers paiements sont versés en octobre-novembre, une nouvelle galère s'annonçait ...
Au niveau de la région, je n'ai pu constituer mon dossier pour l'allocation première installation (API), qu'en juillet ... En effet, dans le dossier ils demandaient le certificat de scolarité et vu que je ne connaissais même pas encore les réponses d'admission, j'ai du attendre jusqu'à juillet, le temps qu'une amie vivant sur la région parisienne s'occupe de mon inscription et me renvoie mes certificats.
Au niveau du logement :
Le logement, ma plus grosse galère qui a signé mon retour à la Réunion ....
Donc, toujours au mois de mars avril et même un peu avant, j'ai commencé à chercher un logement sur la région parisienne vu que c'était la région que je visais.
J'ai tout essayé, mais n'ayant personne qui puisse ou veuille se porter garant pour moi, rien n'avançait...
Les sites où on peut signer des bails en lignes refusaient ma candidature car pas de garant, et pas de revenu ...
Je suis boursière, ma mère ne travaillant pas, et personne d'autre ne voulant se porter garant, il a fallu chercher d'autres moyens, et ce fut l'hebergement la solution qui s'offrit à moi, même si ça ne me réjouissais pas ...
Finalement j'ai pu trouver un hebergement mais la veille de mon départ, voyant que cette personne ne répondais plus à mes appels alors qu'elle devais m'acceuillir à l'arrivée, j'ai du me chercher dans la précipitation un autre hebérgement.
La encore, arrivée en France, ça s'est mal passé et je me suis retrouvée sans logement.
Du coup, un ami de ma famille m'a généreusement acceuilli chez lui le temps de reprendre l'avion pour la Réunion.
Mon gros souci a été le fait de ne pas avoir de garant, ni d'argent, (j'attendais ma bourse)
Au niveau du cadre de vie
Comme j'étais dans la région parisienne, il m'a fallu apprendre à prendre le métro toute seule, à demander mon chemin ...
Bizarement ça ne m'a pas été trop difficile de m'adapter, j'ai eu la chance d'être hebergé dans le 93 à Saint-denis, donc je ne me suis pas trop sentie dépaysée la-bas ...
Il faisait à l'époque très froid, enfin pour moi ... et j'avais un peu du mal avec ça ..
En france je n'ai pas été accompagnée par les associations réunionnaises à part la JERF.
Il faut dire que vu l'urgence de mon départ, je n'ai pas eu le temps de contacter d'autres assoces
Je suis arrivée le 10 septembre 2010 et je suis repartie le 25 septembre 2010 et tout les jours entre ces 2 dates, j'allais à la CAF, au pole emploi ... Tout ça, compliqué par la découverte de Paris et son métro ...
Il n'y a que la JERF avec qui j'étais en contact depuis la Réunion qui m'a donné des conseils, des numéros de téléphone, des adresses, des sites internet pour m'aider à trouver un logement, m'a mis en relation avec des personnes ...
Quand j'étais encore a la Réunion, toutes les assoces que j'appelais me disait qu'ils ne s'occupaient pas des étudiants, ou bien qu'ils ne s'occupaient pas de ceux installés a Paris ...
Au niveau de l'image de la Métropole, ça va je ne me faisais pas trop d'illusions, je suis partie en connaissance de cause.
Déja j'ai été surprise, en arrivant j'ai pris le taxi, et les taxis parisiens ont la réputation d'être grognons ...
Et ben moi je suis tombé sur un taximan super sympa avec qui j'ai fais la conversation ... je lui ai parlé de la Réunion ...il était super content
C'est vrai que dans les gares parisiennes c'est très speed, mais moi ça me convenait trés bien; on dit aussi que les parisiens sont froids, et ben moi je suis tombé sur des parisiens gentils, acceuillants ... lorsque je me suis perdue un jour dans le 16ème arrondissement en cherchant mon université, j'ai demandé mon chemin a une vieille dame, et en me voyant paniquée, elle a plaisanté avec moi,m'a dis de ne pas m'inquiéter et m'a conduite au métro le plus proche
J'ai été du coup surprise de la gentillesse des gens, je ne suis pas sentie différente, au contraire ...je n'ai pas ressentie de préjugés envers moi alors que je m'y attendais ...
Je me sentais dans mon élément a Paris, même si je ne suis pas restée longtemps ...
J'ai connu la JERF en cherchant sur Internet des assoces Réunionnaises à Paris, en appelant tout les numéros et personnes ne voulant m'aider, j'ai appelé la jerf dont j'avais déja apprécié le coté revendicateur et dénonciateur d'injustices sur le site ...
Au tél ça s'est trés bien passé et depuis je garde contact avec cette assoce par mail ....
D'ailleurs je remercie la JERF pour tout ce qu'elle a fais pour moi, vous avez tenté de m'aider quand tout le monde ne le faisait pas, et grâce aux sites, aux conseils que vous m'avez donné, j'éspère retourner en Métropole dans de meilleures conditions.
Par contre je souhaiterais que ce témoignage soit anonyme.
Et un dernier conseil aux jeunes qui veulent tenter la mobilité : C'est vraiment une expérience à vivre si on est totalement prêt, il faut bien préparer, se renseigner partout car on nous pousse à aller en mobilité sans pour autant avoir un suivi total quand on est étudiant ...

Ludivine

vendredi 7 janvier 2011

9 mois d'existence

Le JERF, la Jeunesse Emigrée Réunionnaise en France vous souhaite une bonne année de lutte.

En neuf mois d'existence, nous avons rencontré de nombreuses personnes et travailler avec certaines d'entre elles.


Le JERF : indépendant et libre, à besoin de vous pour continuer à exister !
Venez nous rencontrer et nous apporter votre soutien, financier, moral et/ou actif !

L'argent est le nerf de la guerre, or nous n'en n'avons pas ! Nous sommes tous des jeunes travailleurs, précaires ou au chômage. Agir en toute indépendance sans pression et sans être sous la coupe d'aucun requin, est essentiel pour nous. Notre travail militant et culturel, précieux pour les Réunionnais, demande une organisation et des coûts : banderole, tract, sono, salles...



Pour cette nouvelle année, le JERF à un certain nombre d'échéances à venir que nous aimerions discuter avec vous.

Pour rencontrer le JERF, appelez le 06 70 25 46 75 ou envoyer un mail à soutienreunion@yahoo.fr pour assister à un de nos kozé !